Le présent article à vocation à être actualisé continuellement, dans le dessein d'ajouter des propositions.
Les bulletins blancs sont décomptés séparément et entrent en compte pour la détermination des suffrages exprimés et il en fait spécialement mention dans les résultats des scrutins.
Si le nombre de bulletins blancs décompté représente plus de 50 % des suffrages exprimés, l’invalidation de l’élection est prononcée. Un nouveau scrutin est organisé vingt jours au moins et trente-cinq jours au plus, après l'invalidation.
Il en est de même pour chaque second tour d’une élection présidentielle.
Cette mise en place se justifie par plusieurs raisons : limiter l’exclusion des personnes en situation de handicap ; éviter les procurations et rendre plus accessible le scrutin. Cette alternative ne remet aucunement en cause le vote physique, toujours encouragé.
Le système de vote électronique existe déjà. Il est en effet prévu pour désigner les représentants des Français à l’étranger lors des élections législatives et des élections consulaires.
Toute notion d’obligation étant une restriction de liberté, c’est aux français d’en décider. Nous souhaitons toutefois d'abord, mettre en place l’ensemble des mécanismes évoqués par nos propositions et analyser leurs résultats. Cette proposition interviendrait de fait plusieurs années après la mise en oeuvre de notre programme.
Nous proposons d'ouvrir à tous les étranger hors-UE résidants sur le sol français le droit de vote aux élections locales et européennes après 3 ans de résidence. Les élections nationales seraient toujours du ressort exclusif des citoyens de nationalité française.
Pourquoi ?
Participation démocratique et intégration sociale. En plus de favoriser l'intégration sociale et civique des étrangers en reconnaissant leur rôle de citoyen, étendre le droit de vote aux étrangers résidant en France joue un rôle inclusif.
Reconnaissance des contributions. Les étrangers qui paient des impôts et/ou utilisent les services publics et/ou expriment une volonté de vivre à long terme en France doivent légitimement revendiquer une voix dans la prise de décision politique qui affecte leur vie quotidienne.
Une période de 3 ans. Cette période se justifie par sa corrélation avec la possibilité d’obtention de la carte de résident (résider de façon ininterrompue et régulière en France depuis au moins 3 ans, et disposer de ressources propres, stables et régulières). Elle permets d'inclure tout personne souhaitant s'inscrire dans la durée en France.
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